Approcher le marché

La Belgique est composée de 3 régions :

La Flandre

Elle représente aujourd’hui le 2e pôle d’entreprises pétrochimiques au monde et compte de nombreux ports comme Zeebrugge ou Anvers, le 2e port européen derrière Rotterdam. Les activités diamantaires et agroalimentaires y sont aussi très développées. La Flandre représente 57 % du PIB. Cette région attire beaucoup d’investisseurs étrangers.

 

 

La Wallonie

Elle présente différents pôles d’excellence : les biotechnologies, l’industrie chimique, l’aéronautique et l’armement. Cette région représente 23 % du PIB belge.

 

 

 

Bruxelles Capitale

Elle compte un grand nombre de sièges européens de sociétés étrangères, françaises, américaines et japonaises. En outre, la ville est également le siège de la Commission européenne, du Conseil de l’UE et de l’OTAN. L’activité tertiaire y est fortement développée (banque, assurance, communication, conseil aux entreprises, lobbying etc.).

 

 

La France est le 3e fournisseur et le 2e client de la Belgique.


Notre service en chiffres

Nos conseils :

  • S’informer sur la TVA, les accises, les écotaxes, les taxes de circulation
  • Prendre en compte le multilinguisme. La Belgique a trois langues officielles : le français, le néerlandais et l’allemand. Il est donc important d’adapter son packaging et son étiquette.
  • Prendre en compte les différences culturelles et les habitudes de consommation locales qui ne sont pas celles des Français. Le consommateur belge, flamand notamment, est attiré par la nouveauté et le design. Une marque française avec une grande notoriété peut ne pas rencontrer le même succès sans un effort et un investissement marketing. Le mode de règlement par chèque est obsolète. La ponctualité est de rigueur. Le tutoiement est plus répandu en Belgique.
  • S’adapter à son interlocuteur. Le Belge sera plus discret dans ses relations commerciales mais plus concret. Il favorise des solutions pragmatiques à des discours ou des solutions complexes.
  • Il peut s’avérer plus avantageux de pénétrer dans un secteur en déclin comme la sidérurgie contrairement aux secteurs importants où la concurrence est rude.